La biodiversité sera au cœur de l’actualité environnementale pour 2010, puisque le 11 janvier dernier, s’est ouvert à Berlin l’année internationale de la biodiversité.
L’objectif principal sera de freiner le déclin des espèces dû aux activités humaines et peut-être sauver plusieurs espèces déjà menacées. De plus, de nombreuses activités seront organisées à travers le monde pour sensibiliser le grand public à la biodiversité, mais surtout à son rôle vital pour l’homme.
Actuellement, le déclin de la biodiversité dû à l’activité humaine, est 1000 plus élevé que la progression naturelle des choses.
D’abord la volonté de la création de Giec de la biodiversité est un des objectifs à court et moyen terme de cette année. C’est la France qui est à l’origine de cette Plate-forme intergouvernementale.
La définition d’une valeur économique de la biodiversité est un deuxième enjeu mis de l’avant avec cette année internationale de la biodiversité. Plusieurs rapports évoquent la nécessité d’investir des sommes considérables pour développer des zones protégées et mettre de l’avant des politiques sociétaires qui permettraient de fixer une valeur à la biodiversité. De tels outils économiques restent toutefois à être créés, puisqu’ils ne sont pas encore adaptés.
2010 sera donc une année importante afin de freiner l’érosion de la biodiversité et de préparer une stratégie nationale post-2010. Plusieurs pays préparent conférences, congrès et expositions. À Montréal, c’est le sommet sur la biodiversité, qui doit s’ouvrir à la fin du mois, qui fera office d’activité provinciale.
L’objectif principal sera de freiner le déclin des espèces dû aux activités humaines et peut-être sauver plusieurs espèces déjà menacées. De plus, de nombreuses activités seront organisées à travers le monde pour sensibiliser le grand public à la biodiversité, mais surtout à son rôle vital pour l’homme.
Actuellement, le déclin de la biodiversité dû à l’activité humaine, est 1000 plus élevé que la progression naturelle des choses.
D’abord la volonté de la création de Giec de la biodiversité est un des objectifs à court et moyen terme de cette année. C’est la France qui est à l’origine de cette Plate-forme intergouvernementale.
La définition d’une valeur économique de la biodiversité est un deuxième enjeu mis de l’avant avec cette année internationale de la biodiversité. Plusieurs rapports évoquent la nécessité d’investir des sommes considérables pour développer des zones protégées et mettre de l’avant des politiques sociétaires qui permettraient de fixer une valeur à la biodiversité. De tels outils économiques restent toutefois à être créés, puisqu’ils ne sont pas encore adaptés.
2010 sera donc une année importante afin de freiner l’érosion de la biodiversité et de préparer une stratégie nationale post-2010. Plusieurs pays préparent conférences, congrès et expositions. À Montréal, c’est le sommet sur la biodiversité, qui doit s’ouvrir à la fin du mois, qui fera office d’activité provinciale.
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